Il s’agit surtout, dans une vie, de rester en cohérence avec soi-même ; certains pourraient dire en harmonie avec soi-même ; oui, c’est à peu près la même chose. Cela ne signifie pas qu’il faille toujours suivre une ligne droite, qu’il soit interdit d’aller de ci de là pour prendre des risques, qu’il soit impossible de se tromper ou d’être trompé ni même qu’on soit à l’abri des épreuves. Mais quand on sait qui on est et qu’on agit en fonction des choix de vie qu’on a fait pour justement ne pas se perdre dans cet affolement du monde, c’est plus facile et, surtout, on évite ces compromissions terribles qui se font quand on veut absolument plaire à tout le monde. D’autant qu’on est pas parfait – d’ailleurs personne n’est parfait.
Comme il est agréable d’écouter Allegretto, l’émission de Denisa Kerschova, surtout quand celle-ci est consacrée aux plus beaux concerti pour piano : Brahms, concerto n°2, Mozart, concerto n°1, Tchaïkovski, concerto en si bémol op. 23, Beethoven, concerto n°5, Grieg, concerto en la mineur op. 16, Chopin, concerto n°1, et d’autres qu’on découvre alors et c’est chouette de découvrir encore, d’apprendre encore.
denisa kerschova
-
En cohérence avec soi-même, concerti pour piano, découvrir encore et encore.
-
Moisson.
Se réjouir d’avoir un forfait de téléphone illimité.
Déjeuner en écoutant la délicieuse Denisa Kerschova et son émission Musique-les-bains.
Lire, en particulier Virgile, qu’on connait mal mais dont on sait que Giono l’admirait profondément et on ne peut que faire confiance à Giono.
Ecouter le pape François, debout et seul sur la place St Pierre. « La tempête démasque notre vulnérabilité et révèle ces sécurités, fausses et superflues, avec lesquelles nous avons construit nos agendas, nos projets, nos habitudes et nos priorités. »
Ecouter Schubert, en particulier la sonate en la mineur, pour violoncelle et piano D 821, Arpeggione